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Offenbach et les Trois Empereurs

C’est le défi le plus important de sa carrière. Le 7 juin 1867, alors
que l’Exposition Universelle bat son plein à Paris, Jacques Offenbach est convoqué au Café Anglais par le Ministre de l’Intérieur : on lui demande de se produire devant trois Empereurs et d’interpréter pour eux les meilleurs extraits de ses principaux chefs-d’œuvre. Il appelle à l’aide sa cantatrice préférée, la grande Hortense Schneider.
Mais qui sont au juste ces trois souverains ? Et quel est ce mystérieux pianiste, qui surgit soudain et veut percer les secrets du
génie musical d’Offenbach ?

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La Presse en Parle

La Croix

"Offenbach et les trois Empereurs", quand l'opéra s'invite brillament au théâtre

On en ressort... avec le plaisir d'avoir touché de près la grâce d'une voix lumineuse (celle de Pauline Courtin), portée par une présence scénique radieuse.

Le Canard Enchaîné

"Offenbach et les trois Empereurs", (en rouflaquettes de sens)

« Christophe Barbier, pas barbant du tout en Offenbach, arbore une belle paire de rouflaquettes, Pauline  Courtin se réincarne avec brio en la diva Hortense Schneider (…) accompagnés par un mystérieux pianiste  Empereur russe  joué par Vadim Sher ».

JDNews

Madame et Monsieur s'encanaillent chez Offenbach

Avec Offenbach et les Trois Empereurs, Christophe Barbier fait ressurgir l’esprit de la Belle Époque pour les beaux yeux – et la voix cristalline – de son amoureuse, Pauline Courtin, soprano au sourire ravageur...

Tribune du dimanche

Grisante Pauline Courtin

« Ecrit, mis en scène et joué par un Christophe Barbier virevoltant

(…), ce spectacle est un moment idéal. Au piano, un virtuose charmeur,

Vadim Sher accompagne une divine soprano (…). Pauline Courtin est

miraculeuse. Tout semble simple avec elle, qui nous étourdit de son heureux

talent »

Ouest France

La vie d'Offenbach en refrains et joie de vivre

« Ce spectacle n’est que du bonheur : jeu parfait des comédiens,

voix cristalline et virevoltante de la cantatrice, propos plein de bons sens du

pianiste dont les doigts effleurent le clavier et l’humour à fleur de peau

d’Offenbach. Que demander de plus ? On sort de cet instant – trop court-

enchanté »

Forum Opéra

Tout tourne, tout danse

Les trois comédiens sont épatants, à commencer par Christophe  Barbier. Son Offenbach est tout à fait convaincant. (…) Pauline Courtin – avec  qui sa complicité est bien évidemment totale, (…) brûle vraiment les planches.  Vadim Sher se révèle aussi bon pianiste, chanteur que comédien

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